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Channel: Islam contre Occident » Summorum Pontificum
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Et si Le Jour du Seigneur appliquait Summorum Pontificum ?

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Bonne question posée par un lecteur de Famille Chrétienne et publiée dans le “Forum” de cet hebdomadaire (n° 1861, 14-20 septembre) :

Pourquoi la messe de saint Pie V, qui a été réhabilitée (car jamais interdite) par le pape Benoît XVI, n’est-elle jamais diffusée, elle aussi et régulièrement, à la télévision ? Ce ne serait que justice.

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Un nouveau lieu de messe dans l’Oise

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Le diocèse de Beauvais, Noyon et Senlis (département de l’Oise) comptera à partir de dimanche un nouveau lieu de messe où est appliqué le Motu Proprio Summorum Pontificum. Chaque dimanche et fêtes, la messe sera célébrée à 18h en la Cathédrale de la Nativité de Notre-Dame de Noyon par le Père Michel Mallet, osb (excloîtré de l’Abbaye de Flavigny).

Dans les années 90, la messe de Saint-Pie V était célébrée à Villeselve (au nord de Noyon) par l’abbé François Scrive (aujourd’hui curé de la paroisse de Belloy-en-France). Au début plus ou moins officieusement, puis petit à petit elle s’est inscrite dans le paysage “ecclésial” local.

Quelques mois avant le Motu Proprio, la messe a commencé à être célébrée à Beauvais à l’est du département. En octobre 2007, c’est à Compiègne que le Motu Proprio est appliqué le dimanche… Les messes de Villeselve sont remplacées par Salency (arrêtées en septembre 2012, le célébrant devant remplacer à Compiègne le Père Laurent-Marie, smj, nommé par sa communauté en Alsace).

Aujourd’hui le diocèse compte à nouveau 3 lieux de messes régulières (chaque dimanche et fêtes à Compiègne et Noyon, tous les jours à Beauvais). Ponctuellement, la messe est aussi célébrée à la cathédrale de Senlis. Quelques prêtres diocésains célèbrent leur messe privée de manière régulière dans la forme extraordinaire.

À notre connaissance, la cathédrale de Noyon est la 6ème cathédrale française à accueillir une célébration régulière dans la forme extraordinaire (le dimanche : Verdun, Noyon, Chambéry, Fréjus et Cayenne, en semaine à Fréjus et Nîmes).

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Messe traditionnelle pour le bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine

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La Fraternitá San Filippo Neri est une pieuse association de prêtres et de séminaristes du diocèse de Massa Carrara-Pontremoli en Toscane. Le 23 juillet dernier, elle a obtenu de l’évêque diocésain, Mgr Giovanni Santucci, sa reconnaissance comme Comunitá in formazione dell’Oratorio qui devrait aboutir à l’érection canonique de droit diocésain d’une Congregazione dell’Oratorio di San Filippo Neri. Elle célèbre tous les mercredis la Messe selon la forme extraordinaire et nous prie d’annoncer qu’elle célèbrera mercredi prochain, 25 septembre, une Messe selon cette forme aux intentions de la canonisation du bienheureux empereur Charles de Habsbourg-Lorraine en la chapelle Saint-Dominique Savio de sa maison à Villafranca in Lunigiana.

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Nancy : une chapellenie érigée canoniquement pour la forme extraordinaire

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Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul, a érigé canoniquement le 29 juin 2013 la Chapellenie diocésaine Bienheureux Charles de Habsbourg Lorraine « pour la célébration des actes du culte sous la forme extraordinaire du rite romain ». Le décret d’érection, que vous trouverez ci-dessous, a été publié dans le bulletin officiel L’Église catholique en Meurthe et Moselle (livraison datée du 11 septembre 2013).

Chapellenie 1

Chapellenie 2

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Un message du Cardinal Burke

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Dans sa lettre 408 du 9 octobre, Paix Liturgique relaye le message d’encouragement du cardinal Burke, préfet du Tribunal Suprême de la Signature Apostolique, à l’occasion du prochain Pèlerinage Summorum Pontificum à Rome du 24 au 27 octobre.

 

cardinalRaymondLeoBurke1Chers pèlerins Summorum Pontificum,

Votre pèlerinage annuel à Rome approche. En ces temps de préparation spirituelle à cet événement, sachez que j’implore la bénédiction de la Très Sainte Trinité pour vous, afin que vous receviez une abondance de grâces dès maintenant, et surtout lors des Offices liturgiques auxquels vous participerez dans la Ville éternelle fin octobre.
Que la ferveur de votre prière et de votre foi, qui trouveront un nouvel élan auprès de la chaire de saint Pierre, soit le gage de nombreuses bénédictions pour vous, pour vos proches, et en premier lieu pour le Saint-Père et pour la sainte Église.

Que Dieu vous bénisse !
Raymond Leo Cardinal Burke
Le 5 octobre 2013

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François Bœspflug et ses rêves, un dérapage ultra-progressiste dans La Vie

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Il se lâchent. Alors qu’une grande marche contre l’antichristianisme d’état est organisée le 20 octobre prochain, afin de s’opposer notamment aux propos de Vincent Peillon, de Dounia Bouzar ou encore de Pierre Bergé, c’est encore une fois l’adversité intérieure qui poursuit tranquillement sa déconstruction au sein même de l’Église et des instances proches.

 

Capture d’écran 2013-10-11 à 09.01.55

 

Voici maintenant l’hebdomadaire La Vie – qui appartient à Pierre Bergé, en passan… – qui, avec tous les autres médias de gauche comme Libération, se frottent les mains en permanence autour, sinon du Pape François directement, au moins de sa communication. Pas la peine de polémiquer ici sur ce que l’on pense du Pape, sur ce qu’il a dit ou non. La question est qu’il dévergonde les moeurs et les idées ultra-progressistes au sein de l’église et dont nous sommes, en France, particulièrement exposés. La Vie, donc, a publié son dernier numéro sur le Pape François, présenté comme un « anticlérical ». Au-delà de la provocation, il y a sûrement de la bêtise, mais plus encore, cette veille et sourde avancée de la révolution ecclesiastique et progressiste, dont la Vie est le promotteur depuis des années.

Aussi La Vie donne-t-elle la parole à tous les penseurs de passage qui peuvent ajouter de l’eau dans son moulin ultra-progressiste. Le derneir en date, c’est un dominicain du nom de François Bœspflug (sans le o.p., encore un signe de la révolution cléricale ?), intitulé : «je fais un rêve, celui d’une Eglise moins cléricale»… 

 On apprend que son rêve est celui « d’une Eglise moins cléricale dans ses façons de faire et de parler », dont le Pape François « montrerait l’exemple chaque jour »… Qu’est-ce donc que cette église «moins cléricale » ? Tout simplement par « la fin du monopole clérical » (sic.). Il en vient, pour cela, à affirmer de la parole de saint Paul sur les femmes ans l’église, que « son propos, et les conséquences que l’on en a tirées, n’est plus recevable ». Saint Paul est complètement largé. Saint Paul - quand même !  Plutôt que de comprendre, ou de réinterpréter à nouveaux frais la parole de l’Apôtre des Gentils, ce François Bœspflug le saccage et le range dans la cave, comme une vieillerie. 

La protestantisation est en marche, et François Bœspflug ne s’en cache même pas :

« D’autres Églises chrétiennes ont tourné la page, non sans courage, et s’en portent plutôt mieux, et l’on ferait bien de méditer leur exemple en profitant de leur expérience. Cela aurait beaucoup d’allure que l’Église de Rome ose se payer le culot de consulter l’Église Anglicane… »

Le problème, pour ces protestants-catholiques, c’est, au fond, et toujours, la Présence réelle du Christ. Il ose affirmer que la liturgie est « aujourd’hui malade du fait d’une exaltation de la présence réelle au détriment de la parole vive ». Malade, lisez-vous bien ? Malade de vénérer le corps du Christ ! Une vénération qui prend beaucoup trop de place par rapport à la prêche, c’est-à-dire à la parole-molle et ennuyeuse de trop nombreux prêtres. On ne rêve pas, mais François Bœspflug, lui, rêve de cette « église ». 

L’idée n’étant pas de polémiquer, ou de lui donner des cours d’ecclesiologie et de théologie basique, puisqu’il a l’air si haut perché que les simples bases doivent être bien loin derrière lui. L’idée est d’informer. De dire aux gens ce qu’ils lisent, en lisant La Vie, golem ultra-progressiste de Pierre Bergé, et en fréquentant les cours de ce genre de personnages, dont l’ardeur militante à déconstruire l’église est plus pregnante encore que celle qui est mise en ouvre pour la défendre et, surtout, pour la comprendre… 

 

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Un nouveau site internet pour le Séminaire Saint Pierre (FSSP)

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site_internet_wigratzbadLe Séminaire Saint-Pierre, séminaire européen de la Fraternité Saint-Pierre, vient de lancer son nouveau site francophone afin de suivre régulièrement la vie du Séminaire.

Le Séminaire International Saint-Pierre de Wigratzbad est à la fois le premier séminaire de la Fraternité du même nom et sa première maison érigée canoniquement. Situé en Allemagne, à la limite de la Bavière et du pays souabe, il est proche des frontières autrichienne et suisse. La ville de Lindau, sur une île célèbre du Lac de Constance, est à moins de 20 km et les Alpes ne se trouvent à guère plus de distance. Le lieu dit Wigratzbad, qui dépend de la commune d’Opfenbach, est un important lieu de pèlerinage depuis des dizaines d’années, soit bien avant l’installation du Séminaire de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre. Les pèlerins, venant des environs mais aussi de différentes régions d’Allemagne, d’Autriche, de Suisse et de France, viennent y vénérer Notre-Dame sous le titre de « Immaculée Conception, Mère de la Victoire ». Ce pèlerinage a pour origine des faits surnaturels dont a bénéficié une demoiselle du nom d’Antonie Rädler, qui ont commencé au cours des années 1930, et qui ont conduit au développement de ce lieu de pèlerinage. C’est ainsi qu’Antonie Rädler et l’ancien directeur du pèlerinage, le Père passioniste Johannes Schmid, avaient parlé, avant même que n’existât la Fraternité, d’un centre de formation sacerdotale, à caractère international, à Wigratzbad.
Au cours de l’été de l’année 1988, les fondateurs de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre cherchaient un lieu où ils pourraient former de futurs prêtres. Dès le mois d’août, Mgr Joseph Stimpfle, alors évêque d’Augsburg, se déclarait prêt à accepter l’érection canonique d’un séminaire à Wigratzbad, et les cours purent commencer au mois de novembre suivant, avec 31 séminaristes. C’est l’abbé Josef Bisig, premier supérieur général de la Fraternité Saint-Pierre, qui assura alors également la charge de premier recteur du séminaire. Dès le début, les cours furent dispensés suivant deux sections linguistiques, francophone et germanophone. Les séminaristes d’autres langues devaient choisir l’une ou l’autre de ces deux sections.

Le Séminaire Saint-Pierre compte aujourd’hui 80 séminaristes et le recteur en est l’abbé Patrick du Faÿ de Choisinet.

La Fraternité Saint-Pierre dispose d’un autre séminaire à Denton (Nebraska) aux Etats-Unis, le Séminaire Notre-Dame de Guadalupe. Il est dirigé par l’abbé Josef Bisig (qui fut Supérieur Général de la Fraternité Saint-Pierre de 1988 à 2000) et compte actuellement 75 séminaristes.

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La messe à Noyon dans la presse

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noyon_bisNous avons évoqué la messe célébrée depuis quelques semaines dans la cathédrale de Noyon… le Courrier Picard vient de lui consacrer un article (extraits).

Faire une messe en latin, ça n’a rien à voir avec les Lefebvristes ! » L’abbé Philippe Montier, archiprêtre de Noyon, balaie d’un revers de la main le cliché qu’on pourrait lui lancer. Celui – facile – que l’office en latin est un exercice estampillé intégriste. Justement, avec l’appui de l’évêché, le prêtre noyonnais souhaite qu’un maximum de fidèles puissent se réapproprier l’office extraordinaire.
« Nous voulons construire une dimension paroissiale autour de cette messe en latin, commente-t-il. Avec l’évêque, nous voulons que ça se passe le mieux possible d’un point de vue technique et dogmatique. »

Le prêtre est dos aux fidèles

Dans le Noyonnais, l’office extraordinaire était déjà pratiqué dans l’église de Salency, à cinq kilomètres de la cathédrale noyonnaise. « Cela faisait un peu plus de vingt ans que la communauté Saint-Médard pratiquait cet office, rappelle Bertrand Tribout, responsable de cette communauté. Nous étions d’abord à Varesnes en 1988, puis Villeselve, Lassigny et enfin Salency depuis 2005. »
En septembre 2012, le prêtre qui assurait les messes en latin est affecté à Compiègne. Les membres de la communauté Saint-Médard se rendent alors aux messes en latin, dans la cité impériale.

 

La messe en application du Motu Proprio Summorum Pontificum est célébrée chaque dimanche et fêtes à 18h à la Cathédrale de Noyon. 

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FSSP : pour ses 25 ans, Messe à Saint-Sulpice

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La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) annonce aujourd’hui qu’elle a reçu du curé de l’église Saint-Sulpice de Paris l’autorisation d’y célébrer sa Messe solennelle d’action de grâce, à l’occasion de son 25ème anniversaires, le samedi 10 novembre à 10 h. L’église Saint-Sulpice possède l’une des plus grandes nefs des lieux de culte parisiens.

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La Schola Sainte-Cécile à Rome

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Voici le programme musical qu’exécutera, sous la direction d’Henri Adam de Villiers, la Schola Sainte Cécile lors du pélerinage Summorum Pontificum, cette semaine à Rome. La Schola exécutera un tour de force puisqu’elle chantera les vêpres solennelles de saint Raphaël jeudi soir en la Trinité des Pèlerins ; accompagnera le chapelet récité vendredi matin en l’église de Santa Maria in Campitelli par les Bénédictins de l’Immaculée ; chantera la messe pontificale de vendredi soir à la Trinité des Pèlerins, que célébrera Mgr Schneider ; et, enfin, chantera en la basilique Saint-Pierre la messe du cardinal Castrillón Hoyos pour le 61ème anniversaire de son ordination sacerdotale. Dimanche, c’est en revanche un chœur romain qui chantera la messe du Christ-Roi que célébrera Mgr Rifan en la basilique de la Minerve. Un moment de répit pour une Schola très active ces temps-ci puisqu’elle a chanté une messe mozarabe en août à Tolède et sera courant novembre à Milan pour une messe ambrosienne.

Programme 1

PROGRAMME 2

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Cérémonies à l’Institut du Bon Pasteur

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48_2011.02.02_-_(Prise_de_Soutane_et_Tonsure)_256_2L’Institut du Bon Pasteur va connaître sa première cérémonie d’ordres depuis de longs mois ce samedi à Courtalain (l’an passé, en raison des dissensions au sein de l’Institut, les séminaristes n’avaient pu recevoir que la soutane sans être tonsurés).

L’abbé Paul Aulagnier, recteur du Séminaire Saint-Vincent de Paul depuis septembre, a annoncé que les tonsures ainsi que certains ordres mineurs seront donnés par Dom Antoine Forgeot, abbé Emérite de Notre-Dame de Fontgombault qui a assuré sur demande de Rome la direction de l’Institut du Bon Pasteur l’année dernière :
« Nous invitons tous les amis du séminaire Saint-Vincent-de-Paul à entourer les jeunes séminaristes qui recevront le samedi 26 octobre 2013 des mains de Dom Forgeot la tonsure et les ordres mineurs.
La cérémonie aura lieu à l’église paroissiale de Courtalain à 10h. Elle sera suivie d’un repas servi au séminaire.

 

Des ordres majeurs (sous-diaconat et diaconat) devraient être conférés à plusieurs séminaristes le 7 décembre prochain à Bordeaux.

Le Séminaire Saint-Vincent de Paul compte cette année une trentaine de séminaristes.

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Début du Pèlerinage du Cœtus Internationalis Summorum Pontificum

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Dans quelques heures sera lancé le Pèlerinage du Cœtus Internationalis Summorum Pontificum permettant aux fidèles attachés à la forme extraordinaire de s’associer à l’Année de la Foi.

 

Vous trouverez ci-dessous le rappel du programme.
Jeudi 24 octobre, 19h15 :  Accueil des pèlerins et vêpres solennelles de saint Raphaël chantées par la Schola Sainte Cécile et présidées par Mgr Guido Pozzo, secrétaire de la Commission Ecclesia Dei (église de la Trinité-des-Pèlerins, FSSP)
Vendredi 25 octobre, 9h : Chapelet conduit par les Bénédictins de l’Immaculée à Santa Maria in Campitelli, suivi de la visite des chambres de saint Philippe Néri à la Chiesa Nuova
Vendredi 25 octobre, 11h45 : Rencontre sacerdotale avec Mgr Fisichella, président du conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation (réservé au clergé)
Vendredi 25 octobre, 16h45 : Chemin de croix de saint Léonard de Port-Maurice sur la colline du Palatin, guidé par les membres de l’Opera Familia Christi, l’œuvre qui a la charge de la messe dominicale en la chapelle du Palais Altemps (RV devant l’arc de Titus)
Vendredi 25 octobre, 19 heures : Messe pontificale à la Trinité des Pèlerins célébrée par Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana (Kazakhstan), chantée par la Schola Sainte Cécile
Samedi 26 octobre, 9 heures : Adoration eucharistique à Sainte-Marie en Vallicella (dite aussi Chiesa Nuova) présidé par don Marino Neri, secrétaire de l’Amicizia sacerdotale Summorum Pontificum, suivie de la procession vers la basilique Saint-Pierre
Samedi 26 octobre, 11 heures : Grand-messe pontificale célébrée à l’occasion du 61ème anniversaire de son ordination sacerdotale par le cardinal Castrilló Hoyos et chantée par la Schola Sainte Cécile ; à l’issue, pique-nique des familles dans les jardins du Château Saint-Ange
Samedi 26 octobre, 16 heures : Présentation et dédicace de “Corpus Christi – La santa comunione e il rinnovamento della Chiesa”, le dernier livre de Mons. Athanasius Schneider, au centre Russie œcuménique, 141 borgo Pio 
Dimanche 27 octobre, 9h30 : Messe pontificale pour la solennité du Christ-Roi, célébrée par Mgr Rifan, administrateur apostolique de la communauté Saint Jean-Marie Vianney de Campos (Brésil), en la basilique de la Minerve (service liturgique ICRSP)

 

Plusieurs messages ont été adressés aux pèlerins ces derniers jours
Celui de l’abbé John Berg, Supérieur Général de la Fraternité Saint-Pierre :
« En raison des célébrations de notre 25e anniversaire [NDLR : celui de la Fraternité Saint-Pierre], avec regret je ne peux pas être présent au Pèlerinage pour célébrer le Motu Proprio Summorum Pontificum, mais je vous assure de mes prières et de mes meilleurs vœux pour les milliers de pèlerins qui seront à Rome cette semaine pour commémorer ce motu proprio si important dans la vie de l’Eglise ». (traduction de l’italien par nos soins) 

Celui du Père Cassian Folsom, o.s.b., Prieur du Monastère de San Benedetto de Norcia.
« Je salue cordialement tous les participants au pèlerinage ‘Summorum Pontificum’. Je suis reconnaissant de votre engagement pour la forme extraordinaire de la Messe, qui est un grand don pour l’Eglise. Il me semble que le motu proprio du pape Benoît constitue une sorte de ‘pont’ entre la forme extraordinaire et la forme ordinaire. Aussi, nous devons être comme le pape’ en ce sens. Avec mes meilleurs vœux pour que ce pèlerinage soit pacifique et réussi, et avec la promesse de notre prière ». (traduction de l’italien par nos soins)

 

Votre blog qui dispose d’un envoyé spécial sur place, aura l’occasion de vous proposer (à priori dans l’après-midi de samedi) quelques photos de la messe en la Basilique Saint-Pierre. 

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Des confirmations en Australie

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Nos confrères de Rorate Caeli rapportent que le Motu Proprio continue à progresser en Australie… puisque dans le diocèse de Brisbane, l’évêque y est venu pour la première fois depuis le Concile célébrer la messe et conférer le sacrement de confirmation dans la forme extraordinaire.

Dimanche 29 septembre, solennité de Saint Michel Archange, était une journée très spéciale pour les membres de la communauté traditionnelle Saint Grégoire de Brisbane (Queensland, Australie). Ce jour-là , seize jeunes membres de la Communauté ont reçu le sacrement de la confirmation par l’Ordinaire du lieu , Mgr Mark Coleridge . La cérémonie a eu lieu en l’église Saint- Joseph à Kangaroo Point, où les messes dans la forme extraordinaire sont célébrées les dimanches, samedis et jours de fête. En cette occasion historique le sacrement de la Confirmation selon le rite latin traditionnel a été conféré par l’archevêque de Brisbane pour la première fois depuis le Concile Vatican II. La confirmation a été suivie d’une messe pontificale, également une première depuis Vatican II. Mgr Coleridge est arrivé relativement récemment à Brisbane (Il a été installé en mai 2012).

 

Vous êtes nombreux à nous signaler qu’en France également un certain nombre d’évêques franchissent le pas et acceptent (comme cela est d’ailleurs précisé dans le Motu Proprio) de célébrer l’ensemble des sacrements dans la forme traditionnelle. Souhaitons que cela puisse être le cas partout pour continuer à forger la paix liturgique dont l’Eglise a tant besoin !

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Horaire des messes à Wisques (62)

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Plusieurs lecteurs nous ont interrogé sur les horaires de messes célébrées à Wisques. Nous effectuons donc un addendum à nos différents articles sur le sujets (ici, ici et ici).

L’abbaye a communiqué les horaires des offices qui permettront aux fidèles de la région d’y assister.

Horaire des offices depuis le 11 octobre 2013
5h15
: Matines et Laudes (le dimanche 4h50)
Entre 6h40 et 7h : Messes basses (durée environ 30 à 35 mn)
8h15 : Prime
10h : Tierce et Messe conventuelle chantée
12 h 50 : Sexte
14 h 35 : None (les dimanches 15h, les jeudis : 14 h 30)
18 h 00 : Vêpres (dimanches et jours de fête : 17 h00 ; les jeudis d’été, du 3 mai au 14 septembre : 15h30)
20 h 30 : Complies

Les offices sont célébrés en latin, la  Messe selon la forme extraordinaire.
Des livrets sont mis à la disposition des fidèles.
L’église est ouverte de Matines à la fin de Sexte et de None à la fin des Complies.

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An I du pontificat du Pape François : messe traditionnelle à Saint-Pierre de Rome

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A 11heures, hier matin, samedi 26 octobre, les pèlerins Summorum Pontificum venus à Rome pour la fin de l’Année de la Foi en grand nombre (grosse présence de pèlerins italiens, avec une centaine de prêtres et séminaristes, diocésains pour la plus grande part) sont entrés dans la Basilique Vaticane pour participer à la messe pontificale célébrée par le cardinal Castrillón Hoyos. Ils étaient partis en une longue procession de la Chiesa Nuova, de l’autre côté du Tibre. La procession a passé le pont Saint-Ange et empruntant la Via de la Conciliazione, est entrée dans Saint-Pierre en chantant le Credo. Suivit un très beau pontifical, divinement accompagné, comme les précédents, par les chants de la Schola Sainte-Cécile de Paris, en présence de trois évêques, Mgr Pozzo, Secrétaire de la Commission Ecclesia Dei, Mgr Schneider et Mgr Rifan, et de prélats, dont Mgr Perl, ancien Vice-Président d’Ecclesia Dei.

Le sermon du cardinal Castrillón, prononcé avec une particulière vigueur, se félicitait de la liberté de ce qu’il nomme la « messe grégorienne », et invitait les assistants à la mission, lesquels ont apprécié le « nous » qu’avait choisi d’employer le cardinal, pour se montrer pleinement una cum populo Summorum Pontificum.

Mgr Pozzo a lu le message adressé par le Pape et signé par Mgr Parolin, texte très cordial, sans la moindre restriction pour ces pèlerins accomplissant leur pieux itinéraire auprès des tombes des Apôtres, célébrant le Christ « dans le culte public de l’Église », et leur accordant sa bénédiction apostolique. D’un point de vue anecdotique, le texte est remarquable en ce qu’il salue non pas des personnes, mais un Cœtus fidelium, un groupe de fidèles, le Cœtus internationalis Summorum Pontificum, ce qui est rarissime, sinon unique, et qu’il est assurément le premier message signé par Mgr Parolin comme Secrétaire d’État.

Demain, dimanche du Christ-Roi, les pèlerins se sépareront après une ultime messe pontificale, célébrée par Mgr Rifan, ordinaire de l’Administration apostolique Saint-Jean-Marie-Vianney, en la basilique Santa Maria Sopra Minerva, église de l’Ordre dominicain, au cœur du centre historique de Rome.

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Messe à Saint-Pierre de Rome (les photos suite)

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Dernier acte du pèlerinage Summorum Pontificum : messe du Christ-Roi à Sainte-Marie de la Minerve

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Le pèlerinage Summorum Pontificum s’est achevé hier, dimanche matin 27 octobre, par la messe pontificale du Christ-Roi, dans la basilique Sainte-Marie de la Minerve, à Rome. Elle était célébrée, privilège rare, à l’autel majeur, sur le corps de sainte Catherine de Sienne, patronne de l’Italie, devant une nef pleine de fidèles et une cinquantaine de prêtres.

L’évêque célébrant, Mgr Rifan, Ordinaire de l’Administration apostolique Saint-Jean-Marie Vianney, au Brésil, a prononcé en italien, d’abondance de cœur, une homélie sur le Christ qu’il n’était pas permis d’arracher des institutions et des législations, que n’eussent pas désavouée les spécialistes du Droit public de l’Église formés jadis au Séminaire Français, à cent mètres de là, de l’autre côté de la Place de la Minerve.

S’agissant du dernier acte du pèlerinage Summorum Pontificum en conclusion de l’Année de la Foi, Mgr Rifan a souligné le puissant support que la forme extraordinaire du rite romain représentait pour la confession de la foi.

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Enfin une solution à Saumur !

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Depuis plusieurs années, des familles demandent l’application du Motu Proprio à Saumur. Ce groupe stable rassemble à la fois des ‘locaux’ et des familles de militaires.

 

Sous le régime du Motu Proprio Ecclesia Dei, toute application leur a été refusée. Le seul et unique lieu où était appliqué le Motu Proprio était Angers à 50 minutes de route (70 km).
Les familles saumuroises, à défaut de réponse concrète à leurs demandes légitimes, sont allées chercher un prêtre d’une communauté Ecclesia Dei qui est venu pendant plusieurs années pour donner un complément catéchétique aux nombreux enfants… avant que l’expérience (pourtant fructueuse pour les enfants et les familles) soit interdite par le diocèse.

 

Avec le Motu Proprio de 2007, une nouvelle demande a été formulée sans qu’elle suscite beaucoup d’enthousiasme du côté des autorités diocésaines (tant d’Angers que du diocèse aux Armées). La persévérance des familles a bien permis la mise en place d’une messe dans la forme extraordinaire en lien avec le diocèse aux Armées (et dans une chapelle militaire) par l’aumônier militaire, d’abord une à deux fois par mois.
La célébration a finalement été transférée dans une église à la sortie de Saumur, à Saint-Hilaire-Saint-Florent (sur les bords de Loire) devenant hebdomadaire. La messe était assurée par deux prêtres : un du diocèse aux Armées et par l’aumônier des servantes des Pauvres d’Angers.

 

L’abbé Jean-Bernard de Langalerie, prêtre du diocèse de Gênes (membre de la Fraternité de la Très Sainte Vierge Marie), ancien vicaire de la paroisse Saint-Eugène à Paris et aumônier des Servantes des Pauvres d’Angers, est devenu l’unique célébrant de la messe saumuroise ces derniers mois.
Sa santé étant chancelante, il a été remplacé à plusieurs reprises par des prêtres de communautés traditionnelles voisines.

En juillet, l’abbé de Langalerie a été rappelé à Dieu. Le groupe de fidèles a donc demandé que les remplaçants puissent continuer à assurer cette messe.
La messe a été suspendue pour l’été et n’a pas repris en septembre. Le diocèse proposant de revenir à un rythme de 1 ou 2 fois dans le mois et n’ayant pas de célébrant pour assurer ce ministère.
Plusieurs communautés Ecclesia Dei ont proposé leurs services au diocèse… mais celui-ci a refusé.

 

Finalement le diocèse a fait appel à la Fraternité Saint-Thomas Becket, communauté de droit diocésain (diocèse de Namur en Belgique) qui célèbre depuis le Motu Proprio dans les deux formes du rite romain. Cette communauté d’une grosse quinzaine de prêtres a des missions dans plusieurs diocèses en France : à Blois (une paroisse personnelle avec la forme extraordinaire), à Bayonne (forme extraordinaire), à Saint-Maurice (paroisse avec les deux formes) et dans la forme ordinaire des missions dans le diocèse de Blois, à Ollioules…

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Depuis dimanche 27 octobre, la messe est donc à nouveau assurée chaque dimanche et fêtes à 10h30 à l’église Saint Florent de Saint-Hilaire-Saint-Florent (à la sortie ouest de Saumur sur le bord de Loire).

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Du nouveau pour l’Angelus

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L’Angelus (école fondée en 2010 par l’abbé Régis Spinoza, membre de l’Institut du Bon Pasteur) se détache de l’Institut du Bon Pasteur pour fonder une nouvelle Fraternité : la Fraternité Enseignante des Cœurs de Jésus et de Marie.
Cette Fraternité est une association canonique privée de fidèles sous le patronage du Père Abbé de Randol. Elle sera amenée probablement à évoluer vers une autre forme canonique en fonction de son développement.

 

Sur le nouveau site Internet de la Fraternité, dont l’Angelus est la Maison-Mère, l’abbé Spinoza donne quelques précisions :

AbbeSpinozaLa Fraternité Enseignante des Cœurs de Jésus et de Marie a été érigée canoniquement au titre d’une association privée sous la gouvernance morale du Révérend Père Abbé de Randol le 22 Août 2013 à l’Angélus, jour de la Fête du Cœur Immaculé de Marie. L’Angélus, après concertation avec le Supérieur Général de l’Institut du Bon Pasteur, le 5 octobre 2013, devient la Maison-Mère de la Fraternité Enseignante. Ce statut canonique constitue une première étape et, si Dieu veut, est appelé à évoluer vers une structure ecclésiale plus large sans modifier le charisme propre de la Fraternité.
Pour quelles raisons avons-nous décidé de fonder une nouvelle Fraternité alors que l’Europe connaît une véritable crise spirituelle ? Il n’est nullement question d’une nostalgie des temps passés mais plutôt d’une réponse, à notre petite échelle, à la crise d’identité que notre pays et l’Occident en général connaissent. Ce qui consterne les âmes de bon sens est la décadence spirituelle, morale et intellectuelle de nos jeunes générations. Sans vouloir brosser un tableau trop sombre, la Fraternité entend s’inscrire dans la dynamique de l’évangélisation ou plutôt de la nouvelle évangélisation à laquelle nous sommes appelés en tant que chrétiens. Il faut reconnaître qu’au milieu des turpitudes sociales, nous assistons à l’émergence de nombreuses écoles indépendantes en France. Il existe donc une force vive et la Fraternité entend contribuer à cette belle mission qu’est l’instruction des enfants et des adolescents afin que ceux-ci deviennent des témoins du Christ dans la Cité.
C’est donc dans l’esprit des grands ordres enseignants que sont les jésuites, les frères des écoles chrétiennes ou encore les salésiens que la Fraternité entend s’inscrire. Il ne s’agit pas de réinventer la pédagogie. Nous laissons ce travail aux spécialistes ! Non, il est question de reconstruire, à partir de méthodes qui ont fait leur preuve, des écoles dirigées par des éducateurs religieux, ecclésiastiques et laïcs.
Cela peut paraître audacieux voire téméraire. La vieille Europe connaît une pénurie de prêtres et de religieux sans précédent. L’image même du frère a été dévalorisée et même parfois dénigrée. Le problème de la « reconnaissance » sociale est mis au-devant de la scène. Les gens du monde (et même parfois le milieu ecclésiastique !) considèrent, à tort, que le frère est un « prêtre loupé ». C’est donc réduire la vocation, appel de Dieu, à une fonction « utilitariste ». Tous ces éléments ont conduit à cette pénurie qui voit les frères enseignants de tous ordres confondus diminuer de manière dramatique. En fin de compte, c’est l’essence même de la vie religieuse qui est méconnue. Le frère est celui qui donne son être, sa vie à Dieu. La gratuité, le désintéressement sont les deux principales vertus d’un frère enseignant. Nous oublions que de nombreuses générations ont été sanctifiées par les Frères, les « chers frères » qui transmettaient leur science, leurs savoir-faire. Ils étaient de véritables « paratonnerres » par leur vie régulière alimentée par une vie de prière et d’oraison qui apporte davantage que toutes les recettes pédagogiques contemporaines. Ils allaient à la source, l’Eucharistie et l’oraison qui font les saints. Leur don d’eux-mêmes les accompagnait dans leurs actions auprès de leurs élèves et leur inculquait ce talent, cet art qu’est l’éducation chrétienne. Leur disponibilité, leur écoute, leur présence auprès des garçons est unique. Voilà une des raisons qui nous fait croire que la Fraternité Enseignante a sa place malgré les vicissitudes et les contraintes de notre monde.

 

L’Institut du Bon Pasteur n’a pour l’instant pas fait de communication sur le sujet. Il semble que cette nouvelle fraternité n’ait pas de relation directe avec l’Institut du Bon Pasteur. N’étant qu’une association privée elle n’a pas le pouvoir d’incardiner ses membres, il semble donc qu’elle est vouée à rassembler (au moins dans un premier temps) des membres de différentes communautés mis à la disposition de l’oeuvre.

 

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Le carmel d’Alençon reprend la forme extraordinaire…

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carmel_alenconLe Carmel du Sacré-Cœur de Jésus et de l’Immaculée Conception d’Alençon a été fondé en 1888 à la demande de Mgr François-Marie Trégaro, évêque de Sées. Six moniales du Carmel du Mans quittèrent leur monastère pour venir fonder un nouveau carmel à Alençon (alors que le Carmel d’Alençon avait fermé à la Révolution). Le monastère est dédié au Sacré-Cœur et à l’Immaculée.

En 2007 avec la promulgation du Motu Proprio, le Carmel reprenait la forme extraordinaire pour ses messes dominicales et pour les jours de fêtes. La Mère Supérieure avait d’ailleurs expliqué ce choix de la forme extraordinaire dans les colonnes de La Nef en novembre 2010 :

Depuis la promulgation du Motu proprio Summorum Pontificum, les messes du dimanche et des fêtes de précepte sont célébrées dans notre chapelle selon la forme extraordinaire et, en semaine, selon la forme ordinaire. Notre préférence va à la forme extraordinaire, faisant nôtre ce que disait André Frossard : « Je trouve que la nouvelle messe n’est pas assez contemplative, que l’on y parle trop et que la part du mystère y est bien réduite ». La forme extraordinaire exprime mieux le sacré, l’amour et le respect. C’est une liturgie « amoureuse ». Comparez par exemple les traductions du missel Dom Lefebvre avec celles d’un missel moderne. Le ton n’est pas du tout le même. Aujourd’hui on parle à Dieu d’égal à égal, ou peu s’en faut. Pour nous, ce n’est pas du tout une question d’être attachées au temps jadis. Nous ne sommes pas des passéistes.
Quant à l’avenir de cette question, en filles de l’Église, nous nous appuyons sur Sa Sainteté Benoît XVI.

 

Selon nos informations, pendant l’été, la Supérieure du Carmel a demandé à Mgr Jacques Habert, évêque de Sées, la possibilité de reprendre la forme extraordinaire ce qui est fait depuis quelques jours.
La messe dans la forme extraordinaire (sauf exceptions) est donc célébrée les dimanches et fêtes à 9h00, en semaine (du lundi au samedi) à 8h00. L’aumônier est un prêtre du diocèse aidé par les prêtres de la Fraternité Saint-Pierre (Sées).

 

Monastère du Carmel - 4 place Marguerite de Lorraine - 61000 Alençon.

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